Un produit alimentaire relève de différents critères de qualité. Certains sont imposés par la réglementation, d’autres permettent de se différencier.
À travers ce MOOC de quatre semaines illustré d’exemples concrets, l’ACTIA, le Réseau français des Instituts techniques agro-alimentaires, vous propose d’appréhender les qualités microbiologiques, nutritionnelles, sensorielles et environnementales d’un aliment et la manière dont elles interagissent.
Ce MOOC gratuit et interactif vous permettra d’échanger avec les autres participants au travers de son forum. La réussite de cette formation sera validée par une attestation.
Vous êtes en entreprise, enseignant, étudiant, ou vous souhaitez formaliser un projet professionnel, alors rejoignez-nous sur le MOOC « Qualité des aliments » du réseau Actia.
Formez-vous gratuitement avec notre réseau d’experts !
Ce MOOC a été réalisé avec le soutien financier du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation.
30 mars 2020ActualitésCommentaires fermés sur Les financements de projets innovants. Compte-rendu du Learn and Lunch du 17 février 2020certia-interface
Quel est le financement adapté à mon projet ? A qui m’adresser ? En quoi consiste cette aide ? quels sont les critères d’éligibilité ?
L’objectif de ce learn and lunch était de vous présenter les différents dispositifs d’aides publiques à l’innovation (Région, Etat ou Europe) à destination des entreprises agroalimentaires régionales. La BPI, le Conseil Régional, le CERTIA Interface ont présenté différentes aides mobilisables pour vos projets. Vous retrouverez ci-dessous la synthèse de ces aides et la présentation du CERTIA Interface sur d’autres aides accessibles aux PME.
Chefs d’entreprises, artisans, commerçants, industriels, pour vous aider à faire face aux conséquences économiques, sociales et sanitaires de la crise du Covid 19, l’Etat / Conseil Régional / CCI / CMA sont à votre écoute au 03 59 75 01 00
L’État, la Région Hauts-de-France, les chambres consulaires et les organisations patronales sont mobilisés collectivement pour assurer la continuité économique du territoire et soutenir les entreprises.
Ensemble, ils ont édité un document unique répertoriant l’ensemble des aides pouvant être apportées pour aider les entreprises à surmonter les difficultés dans lesquelles les a plongées le coronavirus. Ces aides leur permettent de bénéficier de reports de charges sociales et fiscales, d’être soutenues dans le maintien de leur activité grâce à des prêts, de maintenir leur activité (activité partielle), de recevoir plus rapidement les sommes qui leur sont dues (crédits d’impôt, paiement des marchés publics) ou encore d’être accompagnées dans le refinancement bancaire.
Ce document unique, ci-joint, recense également l’ensemble des interlocuteurs privilégiés des entreprises. Il sera mis en ligne sur les sites internet des services concernés. Une cellule d’information aux entreprises, qui sera l’équivalent, pour le tissu économique, de la cellule d’information au public mise en place en préfecture, a été créée par les services de l’État. Elle sera opérationnelle dès le lundi 23 mars et sera animée par des professionnels de l’État, de la CCI et de la Région, tous les jours, de 9h00 à 18h00.
Un numéro unique : 03 59 75 01 00
80 lignes téléphoniques seront connectées à ce numéro de téléphone unique afin d’être en mesure de se consacrer à tout moment aux besoins des chefs d’entreprises, pour répondre à leurs questions, leur présenter des solutions et les mettre en contact direct avec les services qui les accompagneront.
13 décembre 2019ActualitésCommentaires fermés sur Un jeu pour imaginer en équipe vos futures innovations alimentaires !certia-interface
Vous voulez trouver de nouvelles idées de développement de produits-services avec vos équipes ?
A l’occasions de l’événement FOOD CREATIV challenge le 26 novembre, nous avons imaginé un jeu en équipe sur deux heures avec 48 cartes et un déroulé à suivre : inspirez-vous – brainstormez – co-construisez ! Il est accessible gratuitement en ligne dans nos publications : http://certia-interface.fr/documentation-2/
2 octobre 2019ActualitésCommentaires fermés sur 3/12 : La consigne dans le secteur agroalimentaire, enjeux et leviers d’actioncertia-interface
Club AgroBeez #1 – La consigne dans le secteur agroalimentaire : enjeux et leviers d’action
Du fabricant d’emballage au consommateur final, le cycle de vie de l’emballage est une problématique qui préoccupe de plus en plus tous les acteurs de l’agroalimentaire. Parmi les diverses solutions qui émergent, la consigne se distingue comme une solution intéressante pour la réduction de l’impact environnemental des emballages. Dans quel contexte la consigne présente un avantage environnemental ? Quelles sont les contraintes et les enjeux à prendre en compte dans la mise en place d’un système de consigne ?
30 avril 2019ActualitésCommentaires fermés sur Appel à projets : Design & agroalimentairecertia-interface
Appel à projets : Design & agroalimentaire – lille-design
TPE ou PME des Hauts-de-France, Wallonie ou Flandre occidentale, vous avez un projet de développement, en cours ou à venir, dans la filière agroalimentaire portant sur un produit ou un service ?
Le projet européen TRIPOD (projet Interreg de coopération transfrontalière France – Wallonie – Vlaanderen), en collaboration avec le CERTIA Interface, vous accompagne !
NOS SOLUTIONS POUR CONCRÉTISER VOTRE PROJET
— un Diagnostic Design pour analyser et mesurer les enjeux de votre projet
— un parcours d’accompagnement : recommandations de conseillers des trois régions, mise en relation avec plusieurs designers, assistance à la rédaction du cahier des charges et à la consultation des designers, formations, aide financière (selon éligibilité), suivi du projet et valorisation des résultats.
— un appui méthodologique du CERTIA Interface.
La démarche est gratuite pour l’entreprise (prise en charge par le Fonds Européen de Développement Régional, soumise à déclaration de minimis et par nos co-financeurs)
NATURE DES PROJETS ATTENDUS
Innovation packaging, amélioration ou extension de gamme, reconception, éco-conception, innovation matériaux, nouveau service associé…
CANDIDATEZ DES A PRÉSENT EN COMPLÉTANT LE FORMULAIRE EN LIGNE Les projets sont examinés dès leur dépôt.
FIN DE L’OPÉRATION : LE 28 JUIN 2019
Les partenaires du projet TRIPOD et le CERTIA Interface :
— se réservent le droit de sélectionner les projets soumis et s’engagent, le cas échéant, à orienter les candidats vers les dispositifs appropriés ;
— s’engagent à respecter la confidentialité des projets soumis
14 mars 2019ActualitésCommentaires fermés sur 28 mars 2018 – journée Agro’up : formation sur la stratégie Océan Bleucertia-interface
Agro’Up sera de retour le 28 mars 2019 pour une prochaine session chez Pâtisserie des Flandres à Erquinghem-Lys !
Le CERTIA Interface vous propose de travailler sur la Stratégie Océan Bleu : Envie de vous démarquer de vos concurrents et d’être pionnier sur de nouveaux marchés ?
Nous vous donnons rendez-vous en 2019 pour 1 journée de formation à la stratégie Océan Bleu.
18 février 2019ActualitésCommentaires fermés sur Compte-rendu du Learn & Lunch du 8 février 2019 : Packaging et innovationcertia-interface
Avec l’intervention de : François VANDEPLASSCHE et Frédéric MERLE du pôle de compétitivité MATIKEM et d’Ornella AVEKO du CERTIA Interface
Le pôle MATIKEM est un pôle de compétitivité national dédié aux matériaux, à la chimie et à la chimie verte. Sa mission est de faciliter et d’accélérer l’émergence de nouveaux projets de R&D, d’accompagner le montage de projets collaboratifs d’innovation, jusqu’à l’obtention de financements et la mise sur le marché des nouveaux produits, services ou procédés. Les actions du pôle touchent à plusieurs secteurs d’activité dont l’emballage. Plus d’informations : www.matikem.com
1. Pourquoi emballe-t-on ?
– Pour contenir les produits
– Les protéger des contaminations extérieures, de la dégradation physico-chimiques. De ce fait, l’emballage doit être chimiquement inerte vis-à-vis du produit.
– Informer & communiquer avec le consommateur : l’emballage peut servir à communiquer sur des notions d’usage, de tri, de DLC ou de DDM. Il permet également de mettre en avant la marque et/ou entreprise.
– Transporter : protéger le produit au cours du transport
2. Les tendances
Le cabinet d’étude MINTEL, dans son étude Global Packaging Trends 2018 distingue 5 grandes tendances d’innovation en packaging alimentaire.
• Emballage comme outil de lutte contre le gaspillage alimentaire
• La montée en flèche du e-commerce
• Le développement de la distribution de proximité en ville
• La quête de simplicité
• L’urgence environnementale
2.1 Emballage comme outil de lutte contre le gaspillage alimentaire
Mieux informer avec les emballages intelligents
Certains emballages intelligents sont pourvus d’une pastille qui est un capteur des composés de dégradation des produits contenus dans l’emballage. La pastille change de couleur lorsque le produit est devenu impropre à la consommation. Ceci permet de réduire le gaspillage d’aliments qui ne sont pas avariés bien que la date de conservation indiquée soit passée.
Sainsbury’s : Étiquette intelligente, Indication du niveau de fraîcheur par coloration de la pastille
Pour plus d’informations sur ce type d’emballage, n’hésitez pas à vous rapprocher de MATIKEM qui est partenaire du projet européen Terafood, sur le contrôle de la qualité des aliments à travers leur packaging industriel afin de minimiser le gaspillage alimentaire. Plus d’information sur https://matikem.matikem.com/international/terafood-2016-2019
Prolonger la fraîcheur avec les emballages fonctionnalisés
L’objectif de certains emballages fonctionnels est d’allonger la durée de conservation d’un produit en limitant un des principaux facteurs de dégradations du produit.
Le Scavenger Vistalid d’Etimex est un film d’operculage qui résiste à la stérilisation. Il contient une barrière active qui absorbe l’oxygène dans l’espace de tête de la barquette. Lauréat du concours Pack the future.
SCHUR FLEXIBLES, films de recouvrement refermable sous atmosphère modifiée. Le film est pelable et repositionnable permettant ainsi de conserver au maximum la fraîcheur des produits.
Faciliter la reconsommation du produit en changeant le design du produit
Fleury Michon qui passe de la barquette au pot refermable.
2.2 La montée en flèche du e-commerce (drive au volant, drive piéton, achat à distance)
La vente à distance est en plein essor. Pour les produits alimentaires, ce mode de commercialisation et de distribution nécessite plusieurs adaptations.
– Colis résistant aux différentes manipulations au cours du transport mais qui demeure assez esthétique à réception chez le consommateur
– Améliorer l’expérience Client : le premier contact que le client a avec le produit passe par l’emballage
– Design produit : par exemple opter pour des cartons adaptés au volume du produit pour réduire l’impression de vide
– Mieux informer le consommateur
Exemples de réponses
There and Back Pack de Charapak : Carton ondulé, personnalisable à l’effigie du vendeur et facilitant le retour produit
Vidéo https://youtu.be/jopCn2uZhB0
The Boston Club
Boîte en carton pour le transport,
A l’intérieur, graphisme rappelant l’identité de marque,
Contenant produit original & attractif
La Box 64 de Olivo et Knauf Indutries, Lauréat prix Pack the future. Facilite le dernier km de livraison des produits frais. Possibilité de transport des produits simultané en froid positif et froid négatif. Maintien de la température sur une durée pouvant aller jusqu’à 18h.
Les nouveaux matériaux
NEOFINES : développé par MATIKEM : matériau composé de 60 à 70% de fines de carrières minérale et d’un liant thermoplastique.
– Fongicide
– Caractéristiques thermiques équivalentes au liant
– Hydrophobe
– Thermoformable
– Thermoscellable
– 100 % biodégradable avec un liant type PBAT, PLA, PHA
– Prix compétitif par rapport au PE/PP
2.3 La quête de simplicité
« 39% des consommateurs français estiment qu’une information excessive sur les emballages d’aliments et de boissons nuit la confiance envers une marque. » Mintel
Le marketing & Design sont des leviers qui permettent de répondre à cette attente. Le visuel => jouer sur la transparence en utilisant des matériaux tels que le verre, le plastique
Saint Mamet qui lance des conserves transparentes de fruits
Ducros qui change le design des contenants d’épices et rend ses étiquettes transparentes pour une meilleure visibilité du contenu.
Quick Meal de Yummity qui fait le choix d’afficher les informations essentielles et la liste des ingrédients principaux sous l’image du produit.
2.5 Emballage comme outil de communication : le développement de la réalité augmentée
Les nouvelles technologies sont des outils dont l’objectif est d’améliorer l’expérience client et l’émerveiller. Dans le secteur de l’emballage cette technologie est utilisée dans le but de mieux communiquer avec le consommateur final.
Les avantages de la technologie
– Permet d’avoir un modèle d’emballage durable dans le temps tout en ayant la possibilité de changer l’information délivrée à souhait.
– Fournir un contenu didactique et ludique
– Communication sur des informations d’usage, réglementaire ou sur une démarche durable
Les inconvénients de la technologie
– Peu répandue et coûteuse
– Le téléchargement de l’application qui délivre le contenu peut dissuader le consommateur
La fonctionnalisation des matériaux, l’accumulation des propriétés et la complexification des matériaux permet de créer de nouveaux emballages complexes qui simplifie l’usage du produit. Exemple : cuisson au four traditionnel ou micro-ondes directement dans l‘emballage. Néanmoins les matériaux complexes sont plus difficiles à recycler. Il faut trouver le moyen de séparer les couches complexes pour pouvoir les recycler.
Un gros enjeu des recherches est l’éco conception des emballages :
– Fin de vie => Recyclage. En attribuant des propriétés supplémentaires aux matériaux par l’utilisation de produits chimiques ou le complexage, le recyclage devient impossible. D’où une recherche de simplification de l’emballage, pour faciliter son recyclage.
– Origine => Biosourcée (carton, amidon, thermoplastiques, etc.). Permet d’avoir des emballages plus naturels, biodégradables voire compostables.
– Conception => Travail sur la matière. Trouver une meilleure adéquation entre les caractéristiques du contenant et les besoins du contenu. Utiliser les caractéristiques des matériaux, repenser l’emploi des matériaux par rapport à l’usage ; avoir le bon dosage de matière ; allègement des matériaux.
Une autre piste est la suppression de l’emballage / produits en vrac… soit on mange tout.
3.2 Qu’est qu’un emballage respectueux de l’environnement ?
Recyclable : il existe 5 grandes familles de plastiques recyclables : le polychlorure de Vinyle (PVC), le polyéthylène (PE), le polystyrène (PS), le polyéthylène téréphtalate (PET) et le polypropylène (PP). Il faut également prendre en compte la contrainte du contact alimentaire du matériau recyclé. Il faut noter que la recyclabilité est en tête des leviers d’innovation pour les acheteurs d’emballage
Biodégradable : Capacité intrinsèque d’un matériau à être dégradé par une attaque microbienne pour simplifier progressivement sa structure et finalement se convertir facilement en eau, CO2 et/ou CH4 et une nouvelle biomasse.
Compostable : Naturellement biodégradable, compostable en milieu industriel sous conditions spécifiques, Compostable en « home compost »
L’oxodégradabilité correspond à un produit pouvant se déliter en petits fragments mais n’est pas assimilable par un micro-organisme. Les produits oxobiodégradables, notamment les sacs plastiques sont interdits depuis 2017 dans l’UE.
Les professionnels du secteur distinguent une première génération qui produit du plastique à partir de matières alimentaires – ce qui suscite des débats éthiques – d’une deuxième, pour des produits « qui ne sont pas fabriqués à partir de produits alimentaires nobles, mais conçus à partir de coproduits (épluchures de légumes, enveloppes de céréales…).
3.3 Les axes d’innovation
– Plastiques biosourcés
– La valorisation des déchets organiques
– Les nouvelles applications en matière de carton et de papier
– La réduction de la quantité de matière couplé au design
Do Eat : Emballage à base pommes de terre (fécule ou épluchures). Les emballages sont comestibles.
Certaines matières tombées dans l’oubli par leur remplacement par des plastiques reviennent. Les atouts de la fibre cellulosique en matière de circularité et/ou de compostabilité la propulsent au-devant de la scène à l’heure où les plastiques sont de plus en plus décriés. En grande-distribution (au rayon fruits et légumes par exemple), mais aussi et surtout en restauration hors-domicile, la cellulose fait un carton. En 2025, les restaurants scolaires n’auront pas d’autre choix que de remplacer leurs barquettes en plastique de réchauffe ou de service par des alternatives biosourcées et compostables. La cellulose remplit ces critères. FDR Emballage est un fournisseur local de la région Hauts-de-France.
Le Centre Technique du Papier (CTP) travaille sur plusieurs pistes à la fois pour : alléger les emballages en cellulose, car à fonctionnalité équivalente le substitut en cellulose est souvent plus lourd, avec un risque de montant d’éco-contribution plus élevé, leur conférer des propriétés barrières. Sur ce point, le CTP a identifié trois techniques d’optimisation :
– L’enduction : elle consiste à déposer une solution aqueuse de polymère et à la sécher. L’enduction coûte entre 50 € et 600 € la tonne (hors papier) pour faire barrage à l’eau, aux graisses et à l’oxygène.
– La lamination humide de microfibrilles de cellulose : il s’agit d’un assemblage sans colle de fibres longues avec une couche barrière de microfibrilles. Cette technique coûte 200 à 800 € la tonne hors papier. Sa consommation énergétique est élevée. Un équipement pilote sera disponible au CTP en 2019.
– La chromatogénie : modification de la cellulose pour la rendre hydrophobe, grâce à un greffage d’acides gras sur le papier. Le CTP dispose d’une machine pilote. Coût estimé : 50 € à 150 € la tonne, hors papier. A ce stade, de nombreuses solutions font déjà leurs preuves sur diverses applications
Le retour aux emballages consignés, ceci sous réserve d’une incitation financière sinon ça ne marchera pas. Le défi et le business model étant de ne pas générer un coût supplémentaire (en temps ou en espèce) au vendeur.
Niiji se présente comme une solution zéro déchet pour les professionnels de la restauration livrée ou à emporter. Il s’agit d’une lunchbox réutilisable, éco-conçue, biosourcée et fabriquée dans le Nord ! Les lunchboxs sont modulables et peuvent être personnalisées avec une illustration, un texte ou le logo de l’entreprise. http://www.niiji.fr/
Jean Bouteille :
L’entreprise fournit un service de distribution de liquide en vrac dans les magasins. Elle fournit à la fois le produit : fontaines et bouteilles et le service de gestion. Plus d’infos sur : http://www.jeanbouteille.fr/
Les matériaux innovants
La Green Gen Bottle. Sans verre, Biosourcés, Forte résistance et légèreté
Regardez la vidéo sur : https://youtu.be/ECN1Gz70fIs
Conclusion
Des choses changent dans le secteur de l’emballage comme partout. Il est temps de recentrer l’innovation sur les réels besoins de l’utilisateur. L’emballage alimentaire actuel régit par les canaux de distribution nécessite des caractéristiques bien spécifiques.
Il est utopique de penser que tout sera recyclable ou biodégradable et il faut être conscient que certaines caractéristiques seront extrêmement compliquées à atteindre. Si on ne peut remplacer l’aluminium, alors, comment le séparer ??
Il est également important de bien définir en amont la stratégie d’écoconception à adopter tout en prenant en compte le cycle de vie de l’emballage.
Il faut également que le marketing / donneur d’ordre ose changer la manière de vendre le produit. Nos futurs marketeurs devront créer de nouvelles stratégies de communication intégrant les problématiques et le fait que le look de l’emballage soit totalement différent.
4 février 2019ActualitésCommentaires fermés sur 14 mars 2019 – Etape 4 de l’Agrotour : le numérique au service de la conceptioncertia-interface
Les Acteurs Régionaux des Industries Agroalimentaires et l’Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail (Aract) Hauts-de-France, ont le plaisir de vous convier à une journée d’échange sur le thème :
Le numérique au service de la conception
Découvrez l’expérience de METAROM
Cette PME familiale créée en 1953 est spécialisée dans la création, la fabrication et la distribution de solutions aromatiques et de caramels.
Basée à Boves (80), l’entité française du groupe ne s’est pas contentée de mieux répondre aux besoins de ses clients et aux obligations d’hygiène et de sécurité propres au secteur de l’agro-alimentaire. Elle a pris soin d‘investir dans des équipements améliorant significativement les conditions de travail des collaborateurs. Pour cela, l’entreprise s’est appuyée sur une démarche participative pour définir les besoins, anticiper les changements et prendre en compte le travail quotidien dans leur conduite de projet.
Afin de lier les parties prenantes du projet, des outils pour simuler les transformations futures ont été nécessaires afin d’éviter les erreurs de conception qui peuvent s’avérer parfois lourdes de conséquences.
Venez profiter d’autres retours d’expérience et de témoignages d’experts.